[GEJ 7.176.4] Mais le prince élu, qui est peut-être Moi-même, dit encore : "Allez d'abord prêcher aux justes qu'ils deviennent bons, car ils se nourriront ensuite du fruit de leurs oeuvres [3.10]. Mais malheur aux paresseux et aux impies, car ils sont toujours méchants, et ils seront récompensés selon leurs œuvres et selon leur mérite ! [3,11] C'est pourquoi des enfants sont princes de mon peuple, et même des femmes règnent sur eux . Mon peuple, tes (faux) consolateurs t'égarent (voir Rome) et effacent le chemin que tu dois suivre [3,12]. |